IL est mort hier, à Barcelone. Je retiens de lui son gout pour le collage, le graffiti, les matières « pauvres » et son traitement du support.
Ses toiles comme des « champs de batailles où les blessures se multiplient à l’infini. »
IL est mort hier, à Barcelone. Je retiens de lui son gout pour le collage, le graffiti, les matières « pauvres » et son traitement du support.
Ses toiles comme des « champs de batailles où les blessures se multiplient à l’infini. »